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Notre Sélection de Livres
- - TOUJOURS MATAV (Jean Vindevogel)
- - La Jeanne d'Arc : porte-hélicoptères, R97 (Stéphane DUGAST)
- - EQUIPAGES - Vie à bord et traditions des marins de la Royale (Luc-Christophe GUILLERM)
- - L'édition 2008 de "Flottes de Combat" est disponible. (Bernard Prézelin)
- - Marins français explorateurs - (Illustrations André LAMBERT - Textes Michel PERCHOC)
- - QUAND LES ARSENAUX PRENNENT LA HAUTE MER (Jean-Jacques Crosnier, Hughes Verdier)
- - Le Mystère Lapérouse ou le rêve inachevé d'un roi
- - DOSSIER D'INFORMATION MARINE 2008 (Amiral Pierre-François Forissier)
- - SNSM - (Loïc Nivet)
- - AU TEMPS DES MOUSSES - (Jacky Laurent)
- - R97, les hommes à terre - BANDE DESSINÉE (Christian Cailleaux, Bernard Giraudeau)
- - Se battre en Algérie 1954 - 1962 ( Patrick-Charles Renaud)
- - LES FORCES MARITIMES DU RHIN (Présenté par la MARINE NATIONALE)
- - RENAISSANCE NAVALE les nouveaux navires de surface français (Michel Perchoc)
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TOUJOURS MATAF Dans les années 60,
Jean Morel, originaire du
nord, décide de sengager volontaire, pour
découvrir le monde. Et cest à bord du
porte-avions FOCH que se situe ce remarquable
roman. Cest le thème de
cette fiction qui montre les émotions qui dominent
la vocation dun métier qui montre la
véritable passion du marin. On peut se procurer ce
remarquable ouvrage chez lauteur, Jean VINDEVOGEL,
23, Rue des blanchisseurs
59130 LAMBERSART, au prix de 17 , plus frais de
port (6,50 ) ; soit 23,50 - La Jeanne d'Arc :
porte-hélicoptères, R97 Un album qui retrace l'histoire
de ce porte-hélicoptère de la Marine
française en s'appuyant sur un reportage
réalisé à bord lors de sa
dernière campagne. La Jeanne d'Arc est une
légende vivante. De New York à Valparaiso, de
Rio à Hong-Kong, de Vladivostok à Dakar, le
porte-hélicoptères de la Marine nationale a
croisé sous toutes les latitudes. À son bord,
des générations de marins ont passé des
mois inoubliables. En escale, des milliers
d'invités y ont été conviés lors
de prestigieuses réceptions. Ce bateau pas comme les autres,
à la fois grande école flottante, ambassade
itinérante mais avant tout bâtiment de combat,
suscite l'affection de l'ensemble du monde
maritime. Navire du groupe école
d'application des officiers élèves de la
Marine, depuis 1964, la Jeanne d'Arc embarque chaque
année, pour une campagne de six mois à la mer,
une promotion de quelque 120 midships -
épaulés par plus de 500 marins - qui y
découvrent in situ l'art de la navigation et du
combat naval, tout en participant au rayonnement de la
France dans le monde. Au cours de ce
demi-siècle au service de la France, la Jeanne d'Arc
a été le témoin actif
d'événements qui ont marqué l'Histoire
: boat people, catastrophes climatiques, guerres et tensions
internationales ou encore piratage maritime... En 2010, le
porte-hélicoptères va quitter les forces
navales. Au fil d'un reportage réalisé lors de
son avant-dernière campagne, cet ouvrage raconte
l'histoire exceptionnelle de ce navire mythique et invite
à découvrir la Jeanne, des machines au pont
d'envol.
Résumé
: La Marine nationale est une
des seules institutions qui puisse s'enorgueillir de la
dimension humaine d'équipage. Quand la
dernière aussière d'un de ses bateaux se
retrouve à l'eau, c'est un monde très
particulier qui se crée en quelques instants. Un
groupe d'hommes et de femmes quitte la terre ferme pour
vivre une expérience collective dans un milieu
clos, loin de toute vie familiale, avec une mission
particulière au service de la France. Des semaines
et des mois d'absence. Des contraintes liées
à la vie collective. Des conditions de travail
parfois ardues. Et pourtant, une envie sans cesse
renouvelée de repartir. Pour un marin, la vie
quotidienne en mer est une expérience ordinaire
dans un monde extraordinaire. Elle est aussi un
mélange étonnant de contrastes entre les
dimensions de l'action et des traditions. Mais un
équipage n'est pas seulement un groupe de marins.
Un équipage va se constituer et vivre dans un
milieu qui le forge, et se bâtir autour de trois
éléments essentiels : le bateau, la mer et
les ports. Avec les hommes, ce sont les fils conducteurs
de cet ouvrage. Les photographies ont été
réalisées lors d'embarquements à
bord des principaux bâtiments de la Marine
nationale française, des plus connus comme le
porte-avions Charles de Gaulle, le
porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, aux plus
anonymes patrouilleurs, avisos, frégates ou
goélettes, en passant par les sous-marins
nucléaires d'attaque ou lanceurs
d'engin. Auteur : L.-C.
Guillerm Date de parution :
31/05/2008 ISBN : 9782726887950 Editeur : ETAI (Editions
Techniques pour l'Automobile et l'Industrie)
www.etai.fr
Prix éditeur
44,00 Dimensions : 28X31
cm EAN :
9782726887950
EQUIPAGES
- Vie à bord et traditions des marins de la
Royale
L'édition
2008 de Flottes de Combat est disponible. L'ouvrage de
référence en matière de marines
militaires fait l'état des lieux, pays par pays,
des différentes flottes, de la plus petite
à la plus grande. Rédigé par
Bernard Prézelin, Flotte de Combat comprend
1280 pages, contre 1239 pour l'édition 2006 et
quelques 4685 photos, dont 3020 inédites.
Les nouvelles pages sont,
essentiellement, consacrées aux flottes
asiatiques, notamment chinoises et coréennes, qui
connaissent un développement impressionnant depuis
quelques années. Source : Mer et
Marine
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=108657&u=5159
Crédits : EDITIONS
MARITIMES & D'OUTRE-MER
27/10/2008
Depuis six siècles
nos marins ont exploré les mers, les terres et les
airs à la recherche des limites du monde,
recueillant une moisson scientifique
prodigieuse. Certains sont passés
à la postérité, d'autres ont
injustement disparu de nos mémoires. Cet album exhume plaisamment
et véridiquement les exploits de ces savants qui
ont souvent payé de leur vie leur soif de
connaissance. On ne peut que rester
admiratifs devant ces hommes qui partaient à la
découverte ... pour deux ou trois années,
et bien souvent sans espoir de retour. Les
explorateurs étaient des hommes d'action, leurs
actes en témoignent ! Ils étaient aussi
peintres, savants, scientifiques, poètes,
botanistes, médecins et astronomes, d'un
appétit de connaissances inassouvi, d'une
curiosité exemplaire. Ils
cherchaient les limites du monde et bien souvent
l'inattendu, ils découvraient aussi l'homme,
l'humanité, l'âme de l'homme et de sa
condition. Que
pouvaient être leurs motivations ? Elles
apparaissent très variés. Le besoin d'agir
et de rompre avec une vie monotone, peut-être
l'aiguillon de la curiosité, la recherche de la
gloire en découvrant des terres inconnues, les
gens qui les peuplent, leurs moeurs, la faune et la
flore, l'hydrographie. Peut-être aussi
l'appât du gain, en ramenant de riches cargaisons,
mais aussi l'esprit missionnaire, afin de faire
connaître la
chrétienté. A travers
ces pages, notre propos est d'exhumer quelques exploits
de ces héros, parfois méconnus, qui ont
souvent payé de leur existence leur soif
d'appréhender le monde... Année :
2007 Éditeur :
Éditions du Gerfaut - Compagnie des éditions
de la Lesse Le Vieux Lavoir - 30 rue des
Écoles militaires - 13100 Aix-en-Provence Format : 30 X 25,5 cm à
l'italienne 96 pages - 44 planches pleine
page Prix de vente : 29
Euros QUAND LES
ARSENAUX PRENNENT LA HAUTE MER
- Jean-Jacques Crosnier, Hughes Verdier, Après
« De l'Arsenal à l'Entreprise », qui
était revenu sur le changement de statut de la
Direction des Constructions Navales, un nouveau livre,
intitulé « Quand les Arsenaux prennent la
haute mer », vient de paraître aux
éditions Albin Michel. L'ouvrage raconte ce qui a
constitué un défi : réussir la
transformation d'un service de l'administration en une
société industrielle rentable, sans en
détruire le tissu humain et en l'installant en
tête de son secteur en Europe. Ce groupe s'appelle
aujourd'hui DCNS et constitue le seul pôle
industriel mondial capable, comme ses homologues
américains, de réaliser sous-marins
nucléaires et porte-avions, sans oublier bien
entendu les unités de plus faible tonnage mais
aussi particulièrement complexes :
frégates, corvettes et sous-marins
conventionnels. De la
naissance des arsenaux, il y a trois siècles, au
mariage avec Thales, l'an dernier, «Quand les
Arsenaux prennent la haute mer» décrit
l'aventure industrielle et humaine de l'entreprise. Une
aventure racontée par ceux qui ont porté et
vécu le changement, qu'il s'agisse de cadre
dirigeants, de chefs d'équipes,
d'ingénieurs, d'ouvriers et de
représentants du personnel. On y découvre,
notamment, les coulisses de l'opération
Convergence, du cabinet de Michel Alliot-Marie aux
sièges de DCN et Thales, en passant par la
bataille livrée par les syndicats, hostiles au
rapprochement avec l'électronicien. Ce livre
revient aussi sur la profonde mutation engagée
dans le fonctionnement d'une entreprise
libérée du carcan administratif, et qui
joue aujourd'hui le jeu de la rationalité
économique, approche totalement inconcevable du
temps de l'administration. Mais, si DCNS constitue
à ce jour ce qu'on peut considérer comme un
exemple en matière de réforme de l'Etat,
les défis auxquels elle est confrontée
demeurent importants. Entre réduction des
commandes de l'Etat et concurrence de plus en plus vive
sur la scène internationale, l'entreprise
s'efforce depuis cinq ans de s'armer au mieux pour
affronter la tempête. Source : Mer et
Marine 7 juillet 2008 http://www.meretmarine.com/ QUAND LES
ARSENAUX PRENNENT LA HAUTE
MER
Marins
français explorateurs
- Illustrations André LAMBERT - Textes Michel
PERCHOC
Le
mystère Lapérouse ou le rêve
inachevé dun roi Cet
ouvrage de référence retrace le voyage de
Lapérouse au travers dun état des
connaissances complet et rend compte des
découvertes archéologiques les plus
récentes. La publication synthétique que
lon attendait ! Éditions
de Conti / Association Salomon, avec la participation du
musée national de la Marine / Diffusion Harmonia
mundi Le beau
livre de lexposition... Louvrage
de référence sur le sujet, pour longtemps.
Cette somme volumineuse retrace le voyage de
Lapérouse au travers dun état des
connaissances complet et détaillé, avec
toute la rigueur scientifique requise. Les auteurs
tiennent compte des découvertes
archéologiques récentes et lampleur
du livre leurs permet de mettre en rapport les
études actuelles les plus pointues pour comprendre
cette aventure humaine, les conditions du naufrage et
établir lhypothèse de
survivants. Musée
de la Marine : Dans le
cadre de l'Exposition du 19 mars au 20 octobre
2008 Lexposition
en ligne sur www.musee-marine.fr Un
parcours virtuel, une exploration interactive des grands
thèmes de lexposition et une
découverte des objets les plus
étonnants. (Voir
aussi sur le site UML le document : "Le
Mystère
Lapérouse"
)
SNSM.
Par Loïc Nivet, navires divers Il nous retrace l'histoire
de cette institution, depuis les multiples associations
et sociétés qui,
fédèrées, lui donnèrent vie.
Il nous présente en détail tous les types
d'embarcations qui équipent les stations, et
surtout il nous fait visiter une cinquantaine de stations
réparties un peu partout sur nos côtes.
Chacune a ses particularités, chacune a son
histoire, ses exploits et ses drames. L'iconographie est
abondante et exceptionnelle, faisant de l'ouvrage un
album très illustré. Publié juste
avant la saison d'été, qui verra des
millions de vacanciers côtoyer les vedettes orange
dans tous les ports et sur toutes les côtes
françaises, c'est un véritable
livre-évènement, publié avec la
participation de la SNSM elle-même. Format 210 x 270 mm - 30
AU TEMPS
DES MOUSSES Source:
Jean-François LEMAIRE, webmestre site
"École
des Mousses" Le livre est sorti
récemment, on peut se le procurer dans les librairies
et les grandes surfaces. Le titre : AU TEMPS DES
MOUSSES. Son auteur : Jacky
LAURENT Edition : ALAN SUTTON "Au temps des Mousses"
retrace l'histoire de l'école d'Etat qui fut
créée en 1834 à Brest pour fournir des
équipages de valeur à une marine de guerre
française affaiblie.
Lalbum
est un tour du monde. Nous accompagnons un
équipage à bord de la
Jeanne
dArc,
partant de Brest. Nous y sommes introduits en suivant les
pas dun jeune matelot qui va faire là sa
première traversée au long cours. Les
parties Navigation nous montrent
léquipage faisant corps avec le navire,
oeuvrant pour que continuent sans cesse les vibrations de
la grande machine de métal. Cest un monde
à part, évoluant lentement sur la surface
changeante des océans. Chacune de ces parties est
loccasion de sattarder un peu plus sur un
matelot en particulier. Cest celui que nous
suivrons lors des Escales. Une fois
débarqué, celui-ci vivra un épisode
anodin ou essentiel de sa vie dhomme, en
particulier vis-à-vis des femmes, symbole de la
vie parmi les gens de la terre. Le dernier
marin auquel nous nous attacherons sera le jeune matelot
du début, concluant son périple par sa
première expérience dhomme
annonçant la fin de lenfance. Nous
terminerons le voyage avec lui, alors quil a
débarqué de la Jeanne et la regarde partir
pour une nouvelle traversée. Lui reste à
quai, mais nous savons quil embarquera
bientôt sur un autre navire. Sur le pont de la
Jeanne, les marins que nous avons connus poursuivent leur
inlassable voyage, toujours entre deux escales, ces
moments où leurs corps solitaires et
démunis subissent les coups du
destin. Voir l'article
"Mon
tour du monde sur la Jeanne"
par Bernard Giraudeau
(Le Figaro) CASTERMAN
Sale guerre !
Cause injuste! Quels que soient les qualificatifs, des
soldats français ont combattu durant plus de sept
ans en Algérie, de lautre côté
de la Méditerranée, où le pouvoir
politique les avait précipités.
Au-delà des idéaux, ils ont dû
sadapter, saguerrir et se battre pour
survivre avant tout dans un cadre qui leur était
totalement étranger. Si la guerre est par
définition cruelle, la guérilla lest
tout autant car elle nobéit à aucune
règle conventionnelle. « Se
battre en Algérie » démontre que cette
guerre ne se résumait pas à des
opérations de ratissage ou de contrôles dans
le bled, ni même à de rares scènes de
torture et dexécutions sommaires. Elle ne
fut pas non plus une guerre où tous les
Appelés désoeuvrés dans un poste
perdu dans le djebel, se livraient à des actes
répréhensibles sur les populations civiles.
Réduire la Guerre dAlgérie à
ces clichés est intellectuellement
malhonnête. Elle fut
émaillée de combats, parfois farouches,
livrés par des combattants français et
algériens courageux, dans des paysages
apocalyptiques, dans le froid, la pluie, la neige et le
vent, ou sous une chaleur excessive. Elle fut aussi et
surtout faite par de jeunes français respectueux
de ladversaire, dont limmense majorité
ne sest pas livrée aux actes barbares dont
font état certains. De 1954
à 1962, lélite de lArmée
Française sest battue en Algérie, en
première ligne : légionnaires,
parachutistes, commandos, équipages
dhélicoptères, pilotes de chasse et
dobservation, marins, tirailleurs, sahariens, etc.
A travers des récits poignants et
véridiques, ce livre vous fait revivre des combats
âpres dans lesquels ces hommes ont
été engagés. Il vous emmène
dans les djebels arides et déchiquetés,
dans les sables et oasis du Sahara, dans les forêts
tapissées de ronces ou de
chênes-lièges, dans les airs à bord
davions de chasse et
dhélicoptères qui survolaient des
paysages magnifiques que la furie guerrière
pouvait rapidement métamorphoser en enfer. Au fil
des pages, vous côtoyez aussi ces rudes
moudjahidin, parfois vétérans des Campagnes
dItalie et dIndochine, qui se battaient pour
leur indépendance avec
détermination. Les grands
épisodes de la Guerre dAlgérie sont
relatés : les opérations de Timimoun, la
bataille de Souk Ahras, les combats livrés dans
lAtlas Saharien, dans les Aurès et à
proximité des frontières tunisiennes et
marocaines, la traque et la fin de « moudjahidin
» éminents comme les colonels Amirouche, Si
Mhamed, Lotfi, tous les trois chefs de Wilaya,
jusquà la Bataille de Bizerte en Tunisie au
cours de laquelle les parachutistes, venus
dAlgérie, ont dégagé la base
et la ville menacées.
Préfacé par
l'Amiral Alain Oudot de Dainville, chef
d'état-major de la Marine. "Une page d'histoire
contemporaine méconnue, les derniers
témoins d'une Marine insolite, des archives
inédites..." Le Rhin : fleuve
aux multiples visages, fleuve de la Lorelei,
chanté par Heine, Apollinaire et tant d'artistes,
écrivains, peintres ou musiciens... Sur la première
voie intérieure navigable d'Europe et le premier
fleuve commercial du monde, les Forces maritimes du Rhin
comptent en 1956 plus de 100 navires, souvent à
l'avant-garde de la technique, armés et entretenus
par près de 800 marins, techniciens civils et
Pilotes militaires du Rhin. Mais qui peut imaginer
aujourd'hui que le trafic fluvial sur le Rhin est alors
équivalent à celui du Canal de
Suez
Premier ouvrage
réalisé sur les
Forces
Maritimes du Rhin,
ce livre retrace une formidable aventure dans une
perspective à la fois scientifique, culturelle et
sociale. S'appuyant sur une multitude de sources :
témoignages, archives et documents inédits,
photographies souvent tirées d'albums de familles,
une mémoire méconnue s'y découvre
dans toute son épaisseur humaine....
LES FORCES
MARITIMES DU RHIN
Les nouveaux navires de surface
français, par Michel PERCHOC La Marine nationale est
en pleine mutation, et la flotte dont elle se dote en est
la parfaite illustration. Les bâtiments
amphibies aux airs de porte-avions, sont
déjà connus pour leurs missions
humanitaires, les frégates Horizon sont en cours
d'essais et déjà les FREMM prennent vie,
annonciatrices d'un potentiel
élevé...